Introduction à Oracle UCM : Content Server
Content Server fait partie de la brique « Gestion de contenu » de la suite Oracle UCM (Universal Content Managment), il a intégré l’offre Oracle
Content Server fait partie de la brique « Gestion de contenu » de la suite Oracle UCM (Universal Content Managment), il a intégré l’offre Oracle
Oracle Database 11.2 (aka 11gR2) offre un nouveau paramètre de session nommé standby_max_data_delay. Ce paramètre permet d’assurer que vos requêtes, sur une base de données physical standby, lorsquelle est en mode real-time query, retournent des données suffisamment récentes. Cette contrainte, que vous positionnez en secondes, peut aller jusqu’à préciser que les données retournées par votre requête sont consistentes avec les données sur votre base de données primaire au moment de l’exécution de la requête, quand vous précisez standby_max_data_delay=0. Dans cet article, vous trouverez quelques exemples d’utilisation de ce paramètre et quelques limites associées.
Le 22 septembre 2009, EASYTEAM, leader français de la fourniture, de l’intégration et de l’exploitation de solutions technologiques Oracle, officialise l’ouverture de son blog à
Le « Block Media Recovery » ou BMR est la possibilité de restaurer un bloc Oracle en cas de corruption. Jusqu’à Oracle 11g Database Release 1, seul Oracle Oracle Recovery Manager, RMAN, permet de restaurer simplement un bloc. Avec la version 11.2 de la base de données, lorsque vous utilisez Active Data Guard et que vous utilisez une standby database et Real Time Query, les corruptions de données sont corrigées automatiquement. Cette nouvelle fonctionnalité permet d’éviter les erreurs ORA-01578 de manière automatique et quasiment transparente. Cette article illustre cette fonctionnalité à travers une méthode simple pour corrompre, tour à tour, la base de données primaire et la standby.
Vous allez, à travers ce second article, continuer l’exploration d’Oracle Data Guard. Il s’agit, cette fois, d’illustrer et de mettre en oeuvre quelque-unes des possibilités offertes par le broker et par les options Active Data Guard et Advanced Compression. En particulier, les thèmes suivants sont abordés :
* Comment changer le mode de protection sans indisponibilité en Oracle 11g Release 2 ?
* Comment et que peut-on attendre de la compression offerte par le service d’envoi des logs d’Oracle 11g Release 2 Advanced Compression ?
* Comment, avec Active Data Guard et le Broker, activer la snapshot standby puis revenir à la configuration physical standby ?
* Comment, avec Active Data Guard et le Broker, activer Real Time Query sur la physical standby ?
Si vous avez eu l’opportunité de regarder les nouvelles fonctionnalités 11g Release 2 d’Oracle Data Guard et de son broker, vous avez découvert une liste de 33 améliorations répertoriées. Cela va du positionnement d’une propriété sur plusieurs bases de données avec dgmgrl à la correction automatique de blocs corrompus, les cruelles ORA-01578, grâce à Oracle Active Data Guard. Cela passe également désormais par la compression de l’ensemble du traffic réseau avec l’option Advanced Compression et par la garantie d’un délai de mise à jour des bases de données standby pour vos requêtes… Un véritable inventaire, à la Prévert, déjà si indispensable qu’on se demande comment on a fait jusqu’à maintenant !
Cela étant, vous m’accorderez que, le fait que ce soit dans la documentation ne signifie ni que ça marche, ni que ce soit simple. J’ai quelques bon contre-exemples sur cette version justement. Enfin, pour Data Guard, c’est une belle histoire et je vous propose donc de partager à travers une série de 5 articles quelques unes des fonctionnalités associées. Le plan que j’ai imaginé est le suivant :
Le 1er article (celui-ci), présente comment créer une configuration Data Guard en 5 minutes, en plus du temps de copie de la base de données et comment effectuer une transition des roles des bases de données
Le 2nd article, présente comment changer le mode de protection, activer Snapshot Standby et Real Time Query
Le 3ème article illustre le fonctionnement de la correction automatique de blocs corrumpus sur la base de données primaire et standby
Le 4ème article démontre comment garantir la fraicheur des données sur la standby
Le 5ème article illustre l’utilisation du Block Change Tracking File sur la base standby et l’utilisation de la commande recover database noredo pour gérer la perte d’un fichier archivelog
Il me semble qu’il s’agit d’un tour d’horizon assez complet de l’état de l’art de Data Guard en 11g Release 2. Bien sur, si vous avez d’autres idées, n’hésitez pas à les partager en laissant vos commentaires…
Migrer des bases de données de 9i, 10g, 11g Release 1 vers Oracle 11g Release 2 sera, à n’en pas douter, le sport national pour les DBA et autres consultants Oracle en 2010. Vos motivations importeront peu : clustering, compression, performances, Exadata, Active Data Guard, Sécurité, downsizing… Le fait est que vous, moi et de nombreuses équipes projet auront les mêmes préoccupations : s’assurer que ces migrations n’auront que des impacts positifs pour les applications, évaluer les risques associées aux migrations, travailler efficacement.
Oracle Database Replay est « da thing » qui vous permettra d’explorer, en quelques jours, un projet complet de migration technique. Toutes les autres approches soit vous prendront des semaines d’implémentation avec les outils les plus évolués du marché soit ne couvriront qu’une très petite partie du fonctionnement réel de vos applications. Alors, certes, utiliser Database Replay nécessite que vous fassiez l’acquisition d’Oracle Real Application Testing (aka RAT) mais si vos applications sont critiques ou que vos équipes sont sur-staffées, vous ne pouvez pas ignorer cette solution.
Dans cet article vous trouverez un exemple complet d’utilisation d’Oracle Database Replay. Cet exemple s’appuie sur les outils en mode ligne de commande; vous préférerez sans doute utiliser Enterprise Manager pour votre projet mais le mode ligne de commande vous permettra de mieux comprendre comment fonctionne l’outil d’Oracle. Si vous lisez mes articles depuis quelques temps, cet article vous rappellera sans doute un article précédent qui s’appuyait sur Oracle 11g Release 1… En beaucoup mieux 😉
Oracle Cluster Health Monitor (aka IPD/OS) permet de surveiller et diagnostiquer des problèmes sur les noeuds d’un cluster. Dans cet article, vous trouverez quelques trucs pour installer l’infrastructure de collecte des informations sur les serveurs, ainsi que le client Java. Vous pourrez alors afficher l’interface graphique qui liste tous les serveurs du cluster et vous disposerez d’une ligne de commande ipd> pour descendre
En plus d’Oracle ASM Cluster File System (ACFS), Oracle 11g Release 2 (aka 11gR2) offre un autre système de fichiers avec des fonctionnalités très différentes, Oracle DBFS. Disponible sur RHEL5 et Oracle EL5, ce système de fichiers peut être monté grace à FUSE (Filesystem in Userspace) comme un FileSystem classique ou manipulé directement avec le programme dbfs_client
Derrière DBFS, un fournisseur de stockage (Store Provider) assure la persistence des fichiers. Oracle offre 2 implémentations de Store Provider:
* le « SecureFile Provider Store » qui, comme son nom l’indique, permet de stocker les fichiers dans une structure de type SecureFile LOB (partitionnée par défaut).
* le « Hierarchical Store » qui permet de stocker des fichiers sur des systèmes hiérarchiques comme, par exemple, des bandes oun pour être vraiment à la page, des systèmes de type cloud storage, avec en l’occurence Amazon S3.
Mais Oracle 11.2 ne s’arrête pas là puisque la version offre des interfaces qui permettent d’implémenter son propre Store Provider. Pour vous faire une idée et pour les plus anciens d’entre nous, cela ressemble bien, au moins de loin, à une sorte de renaissance d’Oracle iFS avec des performances qui vous scotcheraient au plafond.
Enfin assez rêvé ! Cet article présente comment débuter avec DBFS et le SecureFile Provider Store en quelques minutes.
Vous en aviez rêvé Oracle l’a réalisé ; Les fichiers autres que ceux de la base de données Oracle, y compris les logiciels de base de données peuvent désormais être stockés et gérés par ASM !
Par l’intermédiaire d’un nouveau système de fichiers nommé ASM Cluster File System (ACFS) qui s’appuie sur ASM Dynamic Volume Manager (ADVM), vous pourrez maintenant stocker tous les types de données dans ASM. De plus la responsabilité pour la gestion des disques revient de nouveau aux administrateurs système; on peut faire toute la gestion ASM sans connaître une seule commande SQL ! Voilà qui devrait stopper nombre de polémiques dans les services informatiques.
Pour le prouver j’ai installé uniquement les composants nécessaires à ASM sur le système Oracle Enterprise Linux 64bits de mon laptop.